Pour la première fois, un personnage de fiction s’est introduit dans la liste officielle de noms avec lesquels on dénommera les nouveaux espaces publics de Barcelone. Deux ans et demi après qu’Arturo San Agustín revendique pour la première fois depuis les pages de « El Periodico » une rue pour le « Capitan Trueno » et après que ce quotidien et « COM Radio » ils recueillent signatures pour l’obtenir, l’Exposé du Nomènclator –une commission que préside le conseiller municipal de Culture Carles Martí et qui étudie les propositions pour dénommer les voies publiques– il a approuvé l’inclusion du superhéros en une liste dans laquelle ils apparaissent une centaine de noms, entre eux William Shakespeare i Victor Hugo.
En connaissant la nouvelle, le créateur du « Capitan Trueno », un Víctor Mora délicat de santé, il s’est montré (en paroles de leur épouse) « content et reconnaissant ». « Lui surprend qu’il se lui donne tant d’importance à une chose qu’il a fait, parce qu’il n’est pas vaniteux –elle disait hier Harmonia Rodríguez depuis sa|leur maison de Premià de Dalt–. Celui qui oui lui semblerait logique est que, plus qu’une rue, une place lui soit dédiée ».
La commission qui détermine le nomenclateur coïncide avec Víctor Retard et considère qu’une ample zone aménagée en jardin, il braque pour déterminer, ce serait la meilleure option. La décision d’inclure le Capitaine Tro dans la liste de rues établit précédent et cette nouvelle zone pourrait accueillir dans l’avenir|futur de nouvelles sollicitudes de personnages de fiction, ce avec quoi on créerait un peu aussi bien qu’un parc thématique nominal.
ESPACE POUR DÉTERMINER
La liste de noms, approuvée le passé 25 septembre, sera distribuée maintenant aux districts. Selon des sources de la commission, l’espace doit être de nouvelle construction et est difficile qu’il soit placé dans le centre de Barcelone. Sant Andreu, Sant Martí, Sarrià-Sant Gervasi et Sants-Montjuïc, où on ouvre de nouveaux espaces publics, ont des possibilités de loger le Capitaine Tro. Une fois le lieu assigné, le conseil plénier du district doit approuver le nom|prénom et, finalement, le maire doit signer le décret d’approbation définitif. La démarche peut s’allonger deux ou trois mois de plus.
Il « est une grande nouvelle pour la bande dessinée|comique, parce qu’il suppose une reconnaissance à un de leurs personnages les plus emblématiques et parce qu’il|elle fait partie du procès de normalisation de la bande comique comme à part la culture du pays –il a affirmé le directeur du Salon de la Bande Dessinée|Comique, Carles Santamaria–. J’attends qu’il y ait plus de rues non seul non dédiées à des personnages, mais à des auteurs comme Víctor Retard, Opisso, Peñarroya, Conti et Manuel Vázquez ».
Dans la municipalité de Rivas, à Madrid, il y a une rue Capità Tro depuis 2005. En fait, dans cette ville (qui n’admet pas de militaires dans sa|leur liste de rues) ils|elles ont dédié un quartier entier à des personnages de la bande comique espagnole. Les voisins vivent à la rue de Mortadelo i Filemón, de Carpanta, de Rue del Percebe, d’Astérix, d’Obélix et même d’Idéfix.