50années après sa création, Le Jabato joue à nouveau une nouvelle aventure graphique, « La Hermanda de la espada », dans celle que Luis A. Ródenas et José Revilla ont recueillie le témoignage de Víctor Mora et du mort dessiner Francisco Darnís.
Les auteurs ont avoué qu’ils se sont connus il y a trois ans à travers Internet en un forum dédié à Jabato i d’allà il « a surgi l’idée de faire une aventure à niveau particulière », il a commenté Ródenas. « Quelques pages ont commencé à circuler entre des amis et nous pensons qu’avec de la vue au 50 anniversaire on pourrait compléter une aventure, que nous envoyons à l’éditorial, à laquelle la proposition a bien semblé, » le dessinateur a complété.
En une époque où les jeunes à grand peine lisent des bandes comiques historiques et dans lequel resol l’éducation de valeurs, Ródenas et Rebourg ils croient que « El Jabato peut apporter son grain de sable à cette transmission de valeurs ». Ródenas a éclairci : « à aucun moment nous ne nous proposons de faire une mise à jour des dialogues, mais ‘La Germandat de l’Espasa’ est un hommage, par conséquent il reproduit le même langage de l’original », puisque je « ne « ai voulu » écrire pour des autòmats, mais pour des êtres humains ».
Le scénariste pense que « El Jabato a un gré d’humanité, qu’il se lance en manque|faute dans nos temps » et il a révélé qu’il s’est limité à faire faire sauter son esprit pour montrer quelques valeurs qu’il a apprises en lisant ces historiettes.
Revila avoue que Le Jabato est un personnage qui s’est amusé depuis petit et a affirmé que quand il a affronté le nouvel album n’a pas essayé d’imiter Darnís, qu’il considère, quand même, son « référent », son « maître ».
Au nom de Víctor Mora, qui n’a pas pu assister à la présentation pour à cause de des problèmes de santé, sa femme et aide Harmonia Rodríguez, a assuré qu’à Mora il lui plaît que d’autres continuent Le Jabato et qu’il est « enthousiasmé » avec ce nouvel album.
Même, de Víctor Mora n’aurait pas de problèmes, il a ajouté Armonia Rodríguez, parce que Ródenas i Revila ils continuent avec la série, un bout que l’éditeur d’Éditions B, Ricardo Artola, a supeditat à la réponse des lecteurs. Pour le moment, on a fait une tirage initiale de 5.000 exemplaires, qui commencent déjà à s’épuiser en quelques points de vente.
Le premier cahier hebdomadaire du Jabato a apparu en octobre 1958 et deux ans après ils ont commencé à être publiés à la revue Le Campeón et 1962 en Le Jabato Extra, dont 51 nombres sont sortis. Jusqu’à 1968 Le Jabato est arrivé à ses lecteurs sous la protection d’une autre publication frère, Le Capitán Trueno Extra (les héros sans tache finissent toujours par s’allier, remarque Mora dans le prologue du nouvel album).
Même si le populaire personnage a terminé ses aventures en 1968 avec la disparition du Capitán Trueno Extra, le héros ibère a continué à délecter de nouvelles générations avec les multiples rééditions qui ont été faites de ses histoires jusqu’à 1980.
Dans la présentation, Silvia Darnís, fille du dessinateur, a dit que Ródenas i Revila ce sont « des représentants des milliers d’amants du Jabato, amants, pas de la bande dessinée|comique, mais des bandes comiques, que maintenant ils|elles nous font revenir à nouveau à notre enfance. »
En coïncidant avec le 50 anniversaire du héros, Éditions B a édité à plus un album commémoratif dans lequel quelques aventures publiées entre 1959 et 1960 récupèrent