De forme promotionnelle, et presque en toutes la séries de bandes comiques, le premier número d’une nouvelle collection offrait avec l’achat de n’importe quel autre exemplaire de quelqu’une des séries qui fonctionnaient déjà au marché. Il est ainsi que le numéro un de ´ Le Jabato ´ il s’est livré de forme conjointe avec le numéro 107 du Capitán Trueno ´, bien que variant ici la formule : ce qui régalait était l’exemplaire de ´ Le Capitán Trueno ´ et ce qui était payé (1,50 pesetas) était l’exemplaire du Jabato ´. Ceci arrivait le 20 Octobre 1958.
´ El Jabatoest né ainsi comme frère mineur ´ de ´ Le Capitán Trueno ´ (le père des deux personnages a été le prolifique écrivain Víctor Mora, qui ici a signé com à R. Martín) et il a continué une trajectoire parallèle, depuis leur commencement, autant en points de vue graphiques com à des maisons éditoriaux. Le nom de ´ Le Jabato ´ est allé parada par suggestion directe de M. Bruguera, maître de l’éditorial du même nom, pour le considérer commercial.
Devant la disparition de la série ´ Le Cachorro ´, la Éditorial Bruguera avait besoin de couvrir le vide insouciant aux cahiers d’aventures avant que la compétencese soit avancée. Víctor Mora a proposé un héros qui bougerait au Rome Impérial et, en répétant la formule de Trueno : héros-fort-garçon-dame (même si ici s’est suprimir le garçon et s’est changé, déjà avance la collection, pour un extravagant personnage de poussé à l’extrême minceur et poète, qui a supposé le contrepoint sympathique du quatuor principal), on a réussi à donner dans la clé du succès, puisque la série a connu une longue vie de presque huit ans en une époque dans laquelle, grâce au cinéma, le ´peplum ´ exerçait de la spéciale fascination entre la jeunesse. Le personnage, B réédité par des Éditions à de volumineux tomes, reste vif grâce à la mémoire de ceux qui ont partagé ses|leurs aventures
MARIO MARTÍNEZ MONTESINOS. MÁLAGA